En Egypte, la menuiserie apparaît principalement sur les cercueils pré-dynastiques construits en planches à recouvrement chevauchant maintenues ensembles aux coins par des sangles attachées via des orifices. Des boîtes dotées de panneaux incrustés ainsi que de mortaises et de tenons ont également été découvertes dans des tombes pré-dynastiques. La construction des boîtes est devenue plus sophistiquée à partir de la première dynastie avec des couvercles coulissants, des coins à recouvrement chevauchant rabattus sur les côtés et des liens en cuir dans des orifices anguleux. Les menuisiers pratiquaient leur art sans clou ni colle. On commença à utiliser la colle après la cinquième dynastie.
Dès la troisième dynastie, des cercueils furent fabriqués en contreplaqué qui se composait de six fines pièces de cyprès syrien bloquées ensemble avec les fils dans différentes directions. Le placage aussi fin qu’un trentième de pouce était appliqué sur des bois bon marché pour les faire paraître plus chers. Les Egyptiens maîtrisaient l’art de la décoration des meubles avec des incrustations de bois, d’ivoire, de pierres semi-précieuses et de pâte de verre. Les meubles étaient également ornés en dorant ou en argentant les surfaces. Des éléments ajourés, composés de nombreuses ouvertures généralement disposées suivant des modèles, formaient une autre technique de décoration.
La plupart des maisons étaient équipées de nombreux coffres, boîtes et meubles de stockage. Les menuisiers produisaient également toute une variété de styles de lits, de petites tables et de sièges. Ces meubles avaient souvent des pieds en forme de pattes ou de sabots d’animaux. Les chaises avaient souvent des sièges bas et des dossiers droits, généralement découpés suivant des motifs compliqués. Des tabourets pliants étaient fabriqués avec des assises en cuir afin de pouvoir être facilement transportés à la chasse ou lors de batailles.
Les menuisiers utilisaient des outils de menuiserie simples. Ils se servaient de haches pour abattre des arbres et tailler les branches. Ils tiraient, plus qu’ils ne poussaient, des scies constituées de lames de soixante centimètres de long fixées sur un manche en bois. Des scènes représentent des bûches verticales attachées entre des mâts avec le scieur travaillant pour façonner la planche. Deux types de perceuses étaient utilisés. L’une était une sorte de poinçon que l’on tournait à la main et l’autre était dirigé par une pièce recourbée que l’on déplaçait d’arrière en avant. L’herminette était utilisée pour façonner approximativement le bois, puis on employait un ciseau sur lequel on tapait avec un maillet en pierre, pour les tâches plus fines. Des blocs de grès étaient utilisés pour poncer le bois une fois le travail terminé.
Les anciens Egyptiens devaient compter sur du bois importé pour les mâts, les grands cercueils ou les portes de temples. Les cyprès et les cèdres hauts étaient rapportés du Liban et les ormes de Palestine. Le frêne venait de Syrie et l’if de Perse. L’ébène était importé de Somalie pour fabriquer des meubles solides réservés aux plus riches. Plusieurs bois utiles étaient natifs d’Egypte. L’acacia était utilisé pour les mâts de bateau courts et les revêtements en madriers. Les troncs de dattiers étaient utilisés pour les racinaux du comble. Il était possible de fabriquer des boîtes et des cercueils dans le sycomore. Le tamarix pouvait être coordonné en plus petites boîtes et cercueils et le saule était utilisé pour les manches de couteaux et certaines parties de boîtes.
La menuiserie connut une relance dans l’Egypte islamique. Des panneaux et des portes en bois étaient sculptés en profondeur ou sculptés avec des motifs ajourés représentant des plantes et des formes géométriques ainsi que de la calligraphie. Des boîtes magnifiquement sculptées et incrustées étaient utilisées pour contenir des exemplaires du Coran. Des sièges, des tables et des plateaux pour les aliments étaient également ornés de marqueterie, qui est l’art consistant à utiliser du bois incrusté pour créer une image ou un motif.
Dès la troisième dynastie, des cercueils furent fabriqués en contreplaqué qui se composait de six fines pièces de cyprès syrien bloquées ensemble avec les fils dans différentes directions. Le placage aussi fin qu’un trentième de pouce était appliqué sur des bois bon marché pour les faire paraître plus chers. Les Egyptiens maîtrisaient l’art de la décoration des meubles avec des incrustations de bois, d’ivoire, de pierres semi-précieuses et de pâte de verre. Les meubles étaient également ornés en dorant ou en argentant les surfaces. Des éléments ajourés, composés de nombreuses ouvertures généralement disposées suivant des modèles, formaient une autre technique de décoration.
La plupart des maisons étaient équipées de nombreux coffres, boîtes et meubles de stockage. Les menuisiers produisaient également toute une variété de styles de lits, de petites tables et de sièges. Ces meubles avaient souvent des pieds en forme de pattes ou de sabots d’animaux. Les chaises avaient souvent des sièges bas et des dossiers droits, généralement découpés suivant des motifs compliqués. Des tabourets pliants étaient fabriqués avec des assises en cuir afin de pouvoir être facilement transportés à la chasse ou lors de batailles.
Les menuisiers utilisaient des outils de menuiserie simples. Ils se servaient de haches pour abattre des arbres et tailler les branches. Ils tiraient, plus qu’ils ne poussaient, des scies constituées de lames de soixante centimètres de long fixées sur un manche en bois. Des scènes représentent des bûches verticales attachées entre des mâts avec le scieur travaillant pour façonner la planche. Deux types de perceuses étaient utilisés. L’une était une sorte de poinçon que l’on tournait à la main et l’autre était dirigé par une pièce recourbée que l’on déplaçait d’arrière en avant. L’herminette était utilisée pour façonner approximativement le bois, puis on employait un ciseau sur lequel on tapait avec un maillet en pierre, pour les tâches plus fines. Des blocs de grès étaient utilisés pour poncer le bois une fois le travail terminé.
Les anciens Egyptiens devaient compter sur du bois importé pour les mâts, les grands cercueils ou les portes de temples. Les cyprès et les cèdres hauts étaient rapportés du Liban et les ormes de Palestine. Le frêne venait de Syrie et l’if de Perse. L’ébène était importé de Somalie pour fabriquer des meubles solides réservés aux plus riches. Plusieurs bois utiles étaient natifs d’Egypte. L’acacia était utilisé pour les mâts de bateau courts et les revêtements en madriers. Les troncs de dattiers étaient utilisés pour les racinaux du comble. Il était possible de fabriquer des boîtes et des cercueils dans le sycomore. Le tamarix pouvait être coordonné en plus petites boîtes et cercueils et le saule était utilisé pour les manches de couteaux et certaines parties de boîtes.
La menuiserie connut une relance dans l’Egypte islamique. Des panneaux et des portes en bois étaient sculptés en profondeur ou sculptés avec des motifs ajourés représentant des plantes et des formes géométriques ainsi que de la calligraphie. Des boîtes magnifiquement sculptées et incrustées étaient utilisées pour contenir des exemplaires du Coran. Des sièges, des tables et des plateaux pour les aliments étaient également ornés de marqueterie, qui est l’art consistant à utiliser du bois incrusté pour créer une image ou un motif.
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