Dans l’Egypte ancienne, les parents inculquaient à leurs enfants plusieurs principes éducatifs, des attitudes morales et des approches de la vie dès leur plus jeune âge. Ils recevaient la base de leur éducation au sein de la famille. L’éducation égyptienne couvrait à la fois l’enseignement général délivré à un enfant et sa formation pour une vocation particulière. L’éducation des garçons était principalement confiée à leurs pères, les mères étaient responsables de l’éducation des filles.
L’éducation dans l’Egypte ancienne variait selon les classes sociales. Les jeunes hommes ne choisissaient généralement pas leurs propres carrières. Au lieu de cela, ils suivaient généralement la profession ou le commerce familial, même pour les plus hautes fonctions du territoire. Les filles de familles moins nobles apprenaient à gérer un foyer, à chanter, à danser et à jouer des instruments de musique. Les enfants de fermiers et de pêcheurs avaient une éducation encore moins soutenue. Ils apprenaient à semer, à glaner et à récolter. Les artisans apprenaient à leurs enfants les bases de leur métier. Les enfants de la classe dirigeante étaient éduqués par des professeurs spécialisés. Les enfants de classe moyenne étaient éduqués dans les temples sous les auspices d’un professeur particulier. L’éducation comprenait la lecture, l’écriture, les textes littéraires, les enseignements et les fables en réécrivant des textes et en faisant des exercices sur des tableaux en bois ou en pierre. Certains de ces exercices ont été découverts.
L’éducation se poursuivit de cette façon jusqu’à l’ère islamique, avec une légère différence dans le lieu d’éducation. Les temples furent remplacés par les églises à l’époque copte sous le règne romain puis par des mosquées à l’époque islamique. Cependant, dans la plupart des familles des classes moyenne et riche, une grande partie de l’éducation des filles se pratiquait à domicile.
De plus, l’éducation était une condition requise pour monter dans l’échelle sociale. Cela est notable par le fossé existant entre les Egyptiens cultivés et les illettrés tout au long de l’histoire. Les artistes, les dessinateurs et les sculpteurs devaient tous savoir lire et écrire. Ils devaient convertir des textes écrits sur papyrus et ostraca en hiéroglyphes sur les murs des temples et des tombes et les inscrire sur des statues, ce qui requérait une connaissance des deux écritures. Un individu était généralement nommé scribe dans une des organisations d’Etat après la fin de ses études. La position du scribe dans la société égyptienne ne se limitait pas à son rôle d’écrivain de textes et de documents. La signification la plus scrupuleuse est qu’un scribe est un employé, une personne ordinaire, pas un propriétaire terrien ni un riche, qui ne jouit pas d’une position sociale dont il a hérité, c’est son acquisition de compétences par l’enseignement qui lui a permis de faire partie de l’activité fonctionnelle des organisations d’Etat. Il est important de noter que la plupart des classes bureaucratiques étaient des scribes qui ont fortement contribué à tous les projets gouvernementaux.
A l’époque islamique, l’enseignement faisait l’objet d’une grande considération. De grandes mosquées devinrent des écoles ouvertes pour les étudiants en théologie, particulièrement dans les secteurs des Hadith, ou tradition du prophète, et du Fiqh, la jurisprudence. De nombreux érudits musulmans se rendirent en Egypte et des forums scientifiques eurent lieu dans les maisons de princes et de ministres.
L’époque des Ayyubides connut une forte progression du processus éducatif en Egypte. Les dirigeants commencèrent à établir des Kuttabs, des écoles élémentaires, pour apprendre aux enfants à lire, à écrire et à mémoriser le Saint Coran comme type d’éducation élémentaire. Des dons spéciaux furent alloués pour parrainer le processus éducatif en Egypte. Ces écoles enseignaient souvent la théologie, elles ressemblaient donc à des universités d’études supérieures. Chaque école adopta une certaine secte religieuse, comme Shaffee ou Malkee, même si certaines adoptèrent plus d’une secte. Par la suite, les écoles commencèrent à enseigner d’autres sujets comme la grammaire, la morphologie, la philosophie et les sciences naturelles.
L’enseignement était géré par un professeur principal qui était choisi parmi les cheiks et les érudits les plus importants de l’époque. La réputation de l’école dans laquelle il travaillait dépendait de sa propre renommée. Le professeur était souvent assisté d’un démonstrateur qui répétait les mots du professeurs. L’enseignement se basait généralement sur l’instruction et la dictée.
Les anciens Egyptiens accordaient néanmoins une place importante à l’éducation et la considérait comme un privilège. Quelques individus talentueux sans instruction officielle réussissaient encore à acquérir suffisamment de connaissances pour briller dans leur propre domaine. Et, bien entendu, un grand nombre essayait, comme partout, de compenser leur manque d’éducation en faisant plaisir aux personnes haut placées – et parfois même des membres de la famille royale.
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L’éducation dans l’Egypte ancienne variait selon les classes sociales. Les jeunes hommes ne choisissaient généralement pas leurs propres carrières. Au lieu de cela, ils suivaient généralement la profession ou le commerce familial, même pour les plus hautes fonctions du territoire. Les filles de familles moins nobles apprenaient à gérer un foyer, à chanter, à danser et à jouer des instruments de musique. Les enfants de fermiers et de pêcheurs avaient une éducation encore moins soutenue. Ils apprenaient à semer, à glaner et à récolter. Les artisans apprenaient à leurs enfants les bases de leur métier. Les enfants de la classe dirigeante étaient éduqués par des professeurs spécialisés. Les enfants de classe moyenne étaient éduqués dans les temples sous les auspices d’un professeur particulier. L’éducation comprenait la lecture, l’écriture, les textes littéraires, les enseignements et les fables en réécrivant des textes et en faisant des exercices sur des tableaux en bois ou en pierre. Certains de ces exercices ont été découverts.
L’éducation se poursuivit de cette façon jusqu’à l’ère islamique, avec une légère différence dans le lieu d’éducation. Les temples furent remplacés par les églises à l’époque copte sous le règne romain puis par des mosquées à l’époque islamique. Cependant, dans la plupart des familles des classes moyenne et riche, une grande partie de l’éducation des filles se pratiquait à domicile.
De plus, l’éducation était une condition requise pour monter dans l’échelle sociale. Cela est notable par le fossé existant entre les Egyptiens cultivés et les illettrés tout au long de l’histoire. Les artistes, les dessinateurs et les sculpteurs devaient tous savoir lire et écrire. Ils devaient convertir des textes écrits sur papyrus et ostraca en hiéroglyphes sur les murs des temples et des tombes et les inscrire sur des statues, ce qui requérait une connaissance des deux écritures. Un individu était généralement nommé scribe dans une des organisations d’Etat après la fin de ses études. La position du scribe dans la société égyptienne ne se limitait pas à son rôle d’écrivain de textes et de documents. La signification la plus scrupuleuse est qu’un scribe est un employé, une personne ordinaire, pas un propriétaire terrien ni un riche, qui ne jouit pas d’une position sociale dont il a hérité, c’est son acquisition de compétences par l’enseignement qui lui a permis de faire partie de l’activité fonctionnelle des organisations d’Etat. Il est important de noter que la plupart des classes bureaucratiques étaient des scribes qui ont fortement contribué à tous les projets gouvernementaux.
A l’époque islamique, l’enseignement faisait l’objet d’une grande considération. De grandes mosquées devinrent des écoles ouvertes pour les étudiants en théologie, particulièrement dans les secteurs des Hadith, ou tradition du prophète, et du Fiqh, la jurisprudence. De nombreux érudits musulmans se rendirent en Egypte et des forums scientifiques eurent lieu dans les maisons de princes et de ministres.
L’époque des Ayyubides connut une forte progression du processus éducatif en Egypte. Les dirigeants commencèrent à établir des Kuttabs, des écoles élémentaires, pour apprendre aux enfants à lire, à écrire et à mémoriser le Saint Coran comme type d’éducation élémentaire. Des dons spéciaux furent alloués pour parrainer le processus éducatif en Egypte. Ces écoles enseignaient souvent la théologie, elles ressemblaient donc à des universités d’études supérieures. Chaque école adopta une certaine secte religieuse, comme Shaffee ou Malkee, même si certaines adoptèrent plus d’une secte. Par la suite, les écoles commencèrent à enseigner d’autres sujets comme la grammaire, la morphologie, la philosophie et les sciences naturelles.
L’enseignement était géré par un professeur principal qui était choisi parmi les cheiks et les érudits les plus importants de l’époque. La réputation de l’école dans laquelle il travaillait dépendait de sa propre renommée. Le professeur était souvent assisté d’un démonstrateur qui répétait les mots du professeurs. L’enseignement se basait généralement sur l’instruction et la dictée.
Les anciens Egyptiens accordaient néanmoins une place importante à l’éducation et la considérait comme un privilège. Quelques individus talentueux sans instruction officielle réussissaient encore à acquérir suffisamment de connaissances pour briller dans leur propre domaine. Et, bien entendu, un grand nombre essayait, comme partout, de compenser leur manque d’éducation en faisant plaisir aux personnes haut placées – et parfois même des membres de la famille royale.
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