Depuis l’époque préhistorique, les Egyptiens croyaient que tous les aspects de la vie étaient contrôlés par des forces supérieures. Un concept religieux important était la création de l’univers. Pour les anciens Egyptiens, la création consistait principalement en un acte de génération dont le principe était représenté par les crues annuelles du Nil. De plus, chaque jour était perçu comme un renouvellement de la création. Ainsi, à l’instar du soleil qui, représenté par Aton, voyageait à travers le ciel pour se lever et se coucher jour après jour, les Egyptiens étaient assurés de la pérennité de l’ordre créé et de la subsistance de leur monde.
La religion des anciens Egyptiens s’intéressait plutôt à l’interaction qui existait entre les hommes et les dieux, aux relations qu’entretenaient les hommes entre eux et à l’accomplissement des devoirs spirituels. Selon le concept de la religion égyptienne, l’univers était soumis à une loi éternelle stricte appelée la « loi de Maât », ou équilibre et vérité. Pour les Egyptiens, l’univers était un endroit qui évoluait de manière prévisible et régulière. Dans la sphère morale, la pureté était récompensée alors que le péché était puni. Afin de mener une vie honorable et afin que la société évolue dans le bon sens, les hommes devaient soumettre leurs désirs et leurs actions à cette fameuse loi de Maât.
Alors que certaines divinités étaient vénérées à travers l’ensemble du pays, d’autres l’étaient uniquement dans certaines régions. Dans l’Egypte ancienne, la religion se caractérisait par le culte d’un certain nombre de dieux. Toutefois, cette pratique prit fin sous le règne d’Akhénaton. En effet, ce dernier unifia les différents dieux pour n’en faire qu’un seul auquel il donna le nom d’Aton, le dieu soleil. Représenté en tant que disque solaire ailé, ses rayons se terminaient par de petites mains humaines accordant la vie. A la mort d’Akhénaton, les croyances religieuses s’axèrent à nouveau sur le culte de plusieurs dieux.
Au cours de l’époque grecque, Ptolémée Premier introduisit Sérapis afin que les Egyptiens et les Grecs aient une divinité suprême en commun. Notons que Sérapis naquit de la fusion entre plusieurs divinités égyptiennes et hellénistiques, en particulier d’Osiris et du taureau Apis. Son temple fut bâti à Koum Al-Dekka, à Alexandrie. Sérapis continua à être vénéré au cours de la période romaine. La triade divine de la période ptolémaïque se composait de Sérapis, d’Isis et d’Harpocrate. La politique de tolérance religieuse adoptée par l’empire romain permit aux anciennes religions de se mélanger. Ainsi, la déesse Isis fut très rapidement vénérée dans tout l’empire romain.
L’histoire du christianisme en Egypte remonte à la naissance du christianisme lui-même. Selon de nombreux chrétiens, le christianisme fut apporté en Egypte par l’apôtre Saint Marc au début du premier siècle après Jésus-Christ. D’importants manuscrits chrétiens tels que des extraits de l’Evangile selon Saint Jean et une bible chrétienne furent retrouvés. Notons que le plus ancien manuscrit date du deuxième siècle après Jésus-Christ.
Bien que le christianisme fit rapidement un grand nombre d’adeptes, les empereurs romains persécutèrent les chrétiens jusqu’au règne de l’empereur Galènes. Néanmoins, le christianisme continua à être adoré en secret et de nombreuses écoles non officielles furent fondées. C’est sous le règne de l’empereur Constantin que le christianisme connut véritablement son heure de gloire. En effet, c’est à ce moment-là qu’il devint la religion officielle de l’empire romain.
Au début du quatrième siècle, le monachisme chrétien apparut comme un mouvement marqué par des idées d’ascétisme et de modération. En Egypte, on trouvait des monastères un peu partout. Le moine était par définition considéré comme une personne solitaire. Notons qu’il y eut plus d’ermites chrétiens en Orient que partout ailleurs dans le monde. Saint Antoine semble avoir été le fondateur du monachisme en Egypte.
L’Islam se diffusa en Egypte d’une manière totalement différente du christianisme. En effet, il arriva au pays des pharaons après avoir été propagé dans toutes les parties de la péninsule arabique et après « l’achèvement » de ses croyances de base. Faisant office de guide du comportement humain, le Coran contient les révélations d’Allah. Ces textes furent directement transmis au prophète Mahomet. Bien qu’il soit considéré par les musulmans comme le dernier prophète d’Allah, Mahomet n’est pas vénéré.
Ayant fait son apparition en Egypte à la fin du deuxième siècle de l’année de Hijra (huitième siècle après Jésus-Christ), le mouvement sufi est la plus importante contribution de la civilisation égyptienne à la religion islamique. Ayant une plus grande conscience de la vie, un sufi est une personne mystique vivant sur un plan plus élevé que celui dans lequel nous vivons normalement
La religion des anciens Egyptiens s’intéressait plutôt à l’interaction qui existait entre les hommes et les dieux, aux relations qu’entretenaient les hommes entre eux et à l’accomplissement des devoirs spirituels. Selon le concept de la religion égyptienne, l’univers était soumis à une loi éternelle stricte appelée la « loi de Maât », ou équilibre et vérité. Pour les Egyptiens, l’univers était un endroit qui évoluait de manière prévisible et régulière. Dans la sphère morale, la pureté était récompensée alors que le péché était puni. Afin de mener une vie honorable et afin que la société évolue dans le bon sens, les hommes devaient soumettre leurs désirs et leurs actions à cette fameuse loi de Maât.
Alors que certaines divinités étaient vénérées à travers l’ensemble du pays, d’autres l’étaient uniquement dans certaines régions. Dans l’Egypte ancienne, la religion se caractérisait par le culte d’un certain nombre de dieux. Toutefois, cette pratique prit fin sous le règne d’Akhénaton. En effet, ce dernier unifia les différents dieux pour n’en faire qu’un seul auquel il donna le nom d’Aton, le dieu soleil. Représenté en tant que disque solaire ailé, ses rayons se terminaient par de petites mains humaines accordant la vie. A la mort d’Akhénaton, les croyances religieuses s’axèrent à nouveau sur le culte de plusieurs dieux.
Au cours de l’époque grecque, Ptolémée Premier introduisit Sérapis afin que les Egyptiens et les Grecs aient une divinité suprême en commun. Notons que Sérapis naquit de la fusion entre plusieurs divinités égyptiennes et hellénistiques, en particulier d’Osiris et du taureau Apis. Son temple fut bâti à Koum Al-Dekka, à Alexandrie. Sérapis continua à être vénéré au cours de la période romaine. La triade divine de la période ptolémaïque se composait de Sérapis, d’Isis et d’Harpocrate. La politique de tolérance religieuse adoptée par l’empire romain permit aux anciennes religions de se mélanger. Ainsi, la déesse Isis fut très rapidement vénérée dans tout l’empire romain.
L’histoire du christianisme en Egypte remonte à la naissance du christianisme lui-même. Selon de nombreux chrétiens, le christianisme fut apporté en Egypte par l’apôtre Saint Marc au début du premier siècle après Jésus-Christ. D’importants manuscrits chrétiens tels que des extraits de l’Evangile selon Saint Jean et une bible chrétienne furent retrouvés. Notons que le plus ancien manuscrit date du deuxième siècle après Jésus-Christ.
Bien que le christianisme fit rapidement un grand nombre d’adeptes, les empereurs romains persécutèrent les chrétiens jusqu’au règne de l’empereur Galènes. Néanmoins, le christianisme continua à être adoré en secret et de nombreuses écoles non officielles furent fondées. C’est sous le règne de l’empereur Constantin que le christianisme connut véritablement son heure de gloire. En effet, c’est à ce moment-là qu’il devint la religion officielle de l’empire romain.
Au début du quatrième siècle, le monachisme chrétien apparut comme un mouvement marqué par des idées d’ascétisme et de modération. En Egypte, on trouvait des monastères un peu partout. Le moine était par définition considéré comme une personne solitaire. Notons qu’il y eut plus d’ermites chrétiens en Orient que partout ailleurs dans le monde. Saint Antoine semble avoir été le fondateur du monachisme en Egypte.
L’Islam se diffusa en Egypte d’une manière totalement différente du christianisme. En effet, il arriva au pays des pharaons après avoir été propagé dans toutes les parties de la péninsule arabique et après « l’achèvement » de ses croyances de base. Faisant office de guide du comportement humain, le Coran contient les révélations d’Allah. Ces textes furent directement transmis au prophète Mahomet. Bien qu’il soit considéré par les musulmans comme le dernier prophète d’Allah, Mahomet n’est pas vénéré.
Ayant fait son apparition en Egypte à la fin du deuxième siècle de l’année de Hijra (huitième siècle après Jésus-Christ), le mouvement sufi est la plus importante contribution de la civilisation égyptienne à la religion islamique. Ayant une plus grande conscience de la vie, un sufi est une personne mystique vivant sur un plan plus élevé que celui dans lequel nous vivons normalement
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