Fabriqués principalement avec du lin, les textiles de l’Egypte ancienne étaient utilisés pour confectionner des vêtements et des sacs ainsi que pour faire des voiles, des cordes et des filets. Les textiles étaient également réalisés avec des fibres de palmier, avec certaines herbes et avec des graines mais beaucoup moins souvent, avec de la laine de mouton et des poils de chèvre. Une fois les fibres retirées du lin, elles étaient filées sur un fuseau et ensuite, tissées sur un métier afin d’obtenir le textile voulu. Dans l’Egypte pharaonique, les textiles étaient généralement créés par des femmes sur des métiers, dans des ateliers de tissage. Ces derniers se trouvaient souvent dans des palais et dans de grandes propriétés.
A l’état naturel, les fibres de lin étaient de couleur brun doré pâle ou vertes et ce, lorsque cette plante était cueillie relativement tôt. Les anciens Egyptiens utilisèrent de l’ocre et des teintures végétales pour colorer les textiles bien que la cellulose des plantes ne facilite en rien la teinture. L’ocre est un type de terre composée d’oxyde de fer hydraté mélangé à de l’argile ; il permet notamment de créer du jaune, du jaune-brun et du rouge. Parmi les substances végétales utilisées pour la teinture, on retrouve la guède, qui donne du bleu, et la garance et le carthame pour le rouge. La décoloration était aussi utilisée pour obtenir des textiles blancs. Ces derniers reflétaient un statut social élevé en raison de la pureté de leur couleur.
Au cours de l’époque ptolémaïque, le gouvernement commença à superviser l’industrie textile et à contrôler la culture de la plante de lin. Les textiles à motifs, ou tapisseries, dont les décorations présentent deux ou plusieurs couleurs, se répandirent fortement. Ces tissus furent connus sous le nom de « al-Qubati » d’après le terme « Qubt » qui signifie copte. Les textiles coptes sont réputés pour leurs motifs élaborés et détaillés. A l’époque romaine, les tissus étaient ornés de personnages humains ou d’animaux ainsi que de motifs végétaux et géométriques. Au moment où les portraits d’humains et d’animaux devinrent abstraits, on eut de plus en plus recours aux symboles chrétiens. Notons que les tissus étaient utilisés dans les églises et dans les bâtiments publics en tant que rideaux, tentures, draps de lit, couvertures, serviettes, nappes et sacs. Etant plus facile à teindre avec des substances végétales, la laine fut de plus en plus souvent utilisée pour les textiles.
Les textiles de l’Egypte islamique furent reconnus de par le monde pour leur qualité et leur beauté. Parmi les raisons de cet essor, citons l’implication du gouvernement à contrôler les matières premières, la construction d’usines publiques et privées et le respect des normes de qualité. Après le lin, la laine était la deuxième matière première. Les tisserands se servaient de métiers horizontaux et verticaux pour réaliser des trames supplémentaires afin de décorer les tissus. Les étoffes étaient également imprimées avec des motifs ou brodées avec des fils de soie. Parmi les décorations traditionnelles, on retrouve la calligraphie arabe, les motifs végétaux et géométriques ainsi que les symboles abstraits représentant des oiseaux, des hommes et des animaux
A l’état naturel, les fibres de lin étaient de couleur brun doré pâle ou vertes et ce, lorsque cette plante était cueillie relativement tôt. Les anciens Egyptiens utilisèrent de l’ocre et des teintures végétales pour colorer les textiles bien que la cellulose des plantes ne facilite en rien la teinture. L’ocre est un type de terre composée d’oxyde de fer hydraté mélangé à de l’argile ; il permet notamment de créer du jaune, du jaune-brun et du rouge. Parmi les substances végétales utilisées pour la teinture, on retrouve la guède, qui donne du bleu, et la garance et le carthame pour le rouge. La décoloration était aussi utilisée pour obtenir des textiles blancs. Ces derniers reflétaient un statut social élevé en raison de la pureté de leur couleur.
Au cours de l’époque ptolémaïque, le gouvernement commença à superviser l’industrie textile et à contrôler la culture de la plante de lin. Les textiles à motifs, ou tapisseries, dont les décorations présentent deux ou plusieurs couleurs, se répandirent fortement. Ces tissus furent connus sous le nom de « al-Qubati » d’après le terme « Qubt » qui signifie copte. Les textiles coptes sont réputés pour leurs motifs élaborés et détaillés. A l’époque romaine, les tissus étaient ornés de personnages humains ou d’animaux ainsi que de motifs végétaux et géométriques. Au moment où les portraits d’humains et d’animaux devinrent abstraits, on eut de plus en plus recours aux symboles chrétiens. Notons que les tissus étaient utilisés dans les églises et dans les bâtiments publics en tant que rideaux, tentures, draps de lit, couvertures, serviettes, nappes et sacs. Etant plus facile à teindre avec des substances végétales, la laine fut de plus en plus souvent utilisée pour les textiles.
Les textiles de l’Egypte islamique furent reconnus de par le monde pour leur qualité et leur beauté. Parmi les raisons de cet essor, citons l’implication du gouvernement à contrôler les matières premières, la construction d’usines publiques et privées et le respect des normes de qualité. Après le lin, la laine était la deuxième matière première. Les tisserands se servaient de métiers horizontaux et verticaux pour réaliser des trames supplémentaires afin de décorer les tissus. Les étoffes étaient également imprimées avec des motifs ou brodées avec des fils de soie. Parmi les décorations traditionnelles, on retrouve la calligraphie arabe, les motifs végétaux et géométriques ainsi que les symboles abstraits représentant des oiseaux, des hommes et des animaux
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