L’art de la poterie est représentatif de la culture la plupart des nations du monde. En effet, il témoigne de l’évolution de leurs cultures et de leurs civilisations. Bien que considérée comme la plus simple forme d’art de par sa nature primaire et sa popularité, la poterie est en réalité l’artisanat le plus complexe en raison de son caractère abstrait. Précisons que la poterie est connue des Egyptiens depuis l’époque préhistorique et depuis que ce peuple se trouve dans la vallée du Nil et dans le delta. Avant l’apparition de l’écriture, les archéologues pouvaient classer les époques et les cultures dans l’ordre chronologique grâce aux divers types de poterie qu’ils retrouvaient. Portant le nom scientifique de « chronologie consécutive », ce type de classement fut inventé par l’archéologue anglais William Flinders Petrie.
La toute première poterie fut fabriquée à la main avec de la boue et ensuite, séchée au soleil. Lorsque les hommes découvrirent le feu, les poteries furent enfournées afin d’être plus résistantes et donc, de durer plus longtemps. Au cours de l’Ancien Empire, les Egyptiens inventèrent le tour de potier. Ce dispositif était actionné par la main gauche ce qui permettait à la droite de donner à la poterie la forme voulue.
Au début de la civilisation égyptienne, les poteries étaient généralement décorées de formes complexes ou d’animaux ainsi que de motifs géométriques colorés ou représentant des végétaux et des animaux. Notons qu’à partir de la quatrième dynastie, peu d’intérêt fut accordé aux décorations. Dès lors, les poteries furent de plus en plus utilisées dans la vie de tous les jours.
En raison de la perméabilité des poteries, les artistes eurent tendance à utiliser des « ornementations » de verre pour produire les célèbres céramiques égyptiennes. Peintes de préférence en bleu et en vert, ces céramiques furent réalisées en ajoutant du sable de silicium et un revêtement vitreux transparent. Au cours du nouvel Empire, vu le peu d’attention accordée aux poteries, ces dernières furent petit à petit remplacées par des céramiques dont la fabrication dura jusqu’à l’époque romaine et ptolémaïque.
L’art de la porcelaine se développa au cours de la période islamique. Au neuvième siècle après Jésus-Christ, à Basra en Irak, la porcelaine fut, pour la première fois, réalisée avec des décorations en saillie sous un revêtement en or. Considérée comme une innovation islamique sans précédent inconnue des cultures pré-islamiques, il s’agissait là de la première tentative de décoration imitant le métal. Précisons que la fabrication de la porcelaine se répandit depuis l’Iraq dans toute Egypte où elle fut introduite par Ahmed Ibn Toloun.
Pendant l’époque fatimide, la fabrication de la porcelaine se développa fortement. Outre des scènes de danse, de musique et de chasse, les divers récipients en porcelaine étaient ornés de fantastiques dessins représentant des personnages humains, des oiseaux, des animaux, des végétaux, des motifs géométriques et de la calligraphie Kufi. On pouvait également admirer certaines activités sportives telles que l’escrime, la lutte et les combats de coqs. En Egypte, les tasses, les pots, les récipients en argile, les assiettes et d’autres types de poterie étaient fabriqués et peints avec des couleurs qui changeaient en fonction de la lumière. Au cours de la période ayyubide, cet artisanat fut considéré avec plus d’attention dans l’état islamique. C’est ainsi que naquit la célèbre porcelaine ayyubide. Ce nouveau type de porcelaine était réputé pour son argile molle, ses superbes motifs vitreux, son arrière-plan vert, ses décorations noires et ses splendides dessins de végétaux, d’oiseaux et d’animaux. Au cours de la période mamelouke, la porcelaine était décorée de dessins d’animaux reposant sur une surface imitant un décor naturel peint en noir et bleu, le tout sous un revêtement vitreux transparent ; ajoutons que cette porcelaine témoignait aussi de l’influence de l’art iranien, avec des motifs représentant des dragons et le phénix.
L’industrie égyptienne relative à la fabrication de la porcelaine déclina après la conquête des Turques ottomans en 1517 après Jésus-Christ, au moment où l’Egypte importait de grandes quantités de porcelaine de Chine d’Asie Mineure.
La toute première poterie fut fabriquée à la main avec de la boue et ensuite, séchée au soleil. Lorsque les hommes découvrirent le feu, les poteries furent enfournées afin d’être plus résistantes et donc, de durer plus longtemps. Au cours de l’Ancien Empire, les Egyptiens inventèrent le tour de potier. Ce dispositif était actionné par la main gauche ce qui permettait à la droite de donner à la poterie la forme voulue.
Au début de la civilisation égyptienne, les poteries étaient généralement décorées de formes complexes ou d’animaux ainsi que de motifs géométriques colorés ou représentant des végétaux et des animaux. Notons qu’à partir de la quatrième dynastie, peu d’intérêt fut accordé aux décorations. Dès lors, les poteries furent de plus en plus utilisées dans la vie de tous les jours.
En raison de la perméabilité des poteries, les artistes eurent tendance à utiliser des « ornementations » de verre pour produire les célèbres céramiques égyptiennes. Peintes de préférence en bleu et en vert, ces céramiques furent réalisées en ajoutant du sable de silicium et un revêtement vitreux transparent. Au cours du nouvel Empire, vu le peu d’attention accordée aux poteries, ces dernières furent petit à petit remplacées par des céramiques dont la fabrication dura jusqu’à l’époque romaine et ptolémaïque.
L’art de la porcelaine se développa au cours de la période islamique. Au neuvième siècle après Jésus-Christ, à Basra en Irak, la porcelaine fut, pour la première fois, réalisée avec des décorations en saillie sous un revêtement en or. Considérée comme une innovation islamique sans précédent inconnue des cultures pré-islamiques, il s’agissait là de la première tentative de décoration imitant le métal. Précisons que la fabrication de la porcelaine se répandit depuis l’Iraq dans toute Egypte où elle fut introduite par Ahmed Ibn Toloun.
Pendant l’époque fatimide, la fabrication de la porcelaine se développa fortement. Outre des scènes de danse, de musique et de chasse, les divers récipients en porcelaine étaient ornés de fantastiques dessins représentant des personnages humains, des oiseaux, des animaux, des végétaux, des motifs géométriques et de la calligraphie Kufi. On pouvait également admirer certaines activités sportives telles que l’escrime, la lutte et les combats de coqs. En Egypte, les tasses, les pots, les récipients en argile, les assiettes et d’autres types de poterie étaient fabriqués et peints avec des couleurs qui changeaient en fonction de la lumière. Au cours de la période ayyubide, cet artisanat fut considéré avec plus d’attention dans l’état islamique. C’est ainsi que naquit la célèbre porcelaine ayyubide. Ce nouveau type de porcelaine était réputé pour son argile molle, ses superbes motifs vitreux, son arrière-plan vert, ses décorations noires et ses splendides dessins de végétaux, d’oiseaux et d’animaux. Au cours de la période mamelouke, la porcelaine était décorée de dessins d’animaux reposant sur une surface imitant un décor naturel peint en noir et bleu, le tout sous un revêtement vitreux transparent ; ajoutons que cette porcelaine témoignait aussi de l’influence de l’art iranien, avec des motifs représentant des dragons et le phénix.
L’industrie égyptienne relative à la fabrication de la porcelaine déclina après la conquête des Turques ottomans en 1517 après Jésus-Christ, au moment où l’Egypte importait de grandes quantités de porcelaine de Chine d’Asie Mineure.
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