Les anciens Egyptiens appréciaient les jeux de stratégie et de hasard dans lesquels les pièces étaient déplacées sur des tableaux spécialement conçus à cet effet. Joué depuis l’époque prédynastique jusqu’au début de l’Ancien Empire, le « mehen » comportait six lions et six jeux de billes. Le jeu des chiens et des chacals semble être une course disputée autour d’un palmier par une équipe de cinq chacals et une autre composée de cinq chiens. Malheureusement, nous n’en savons que très peu quant aux règles de ces jeux.
Le jeu le plus populaire était le senet. Considéré comme le précurseur du jeu de dames, il était joué sur un damier de trois rangées de dix carrés. L’objectif était de déplacer les pièces le long du parcours en formant une espèce de S. Certains carrés portant un signe spécial indiquaient soit la chance soit l’infortune. Les dés étaient joués au cours de la période romaine et byzantine à l’époque islamique.
Ornant les tombes et les temples de toutes les époques, des scènes montrent des musiciens et des danseurs. Les spectacles musicaux jouaient un rôle très important dans les cultes des divinités et des rois. Dès lors, il n’est pas étonnant de constater que les Egyptiens jouaient de toute une série d’instruments parmi lesquels on retrouve notamment des tambours, des flûtes, des harpes, des tambourins et des trompettes. Pour les femmes, faire carrière dans la danse était une chose très honorable. Précisons qu’afin de réaliser les figures acrobatiques représentées sur les scènes des temples, cette activité nécessitait une certaine grâce et une véritable force physique.
Chez les anciens Egyptiens, la danse était pratiquée lors des enterrements, des festivals, des banquets et à d’autres occasions. Comme l’indique le titre de « chanteuse d’Amon » qu’occupaient les femmes de l’élite, la chanson était un moyen d’honorer les dieux ainsi qu’une autre forme de divertissement populaire. Peu de paroles de chansons datant de l’Egypte ancienne furent retrouvées, si ce n’est quelques textes de chansons d’amour remontant à la période ramesside et découverts à Deir el-Medina.
La famille royale de l’Egypte ancienne et les hauts-fonctionnaires aimaient assister aux compétitions sportives. Parmi les événements favoris, citons entre autres la boxe, la lutte et les combats d’escrime disputés avec des bâtons. Les anciens Egyptiens avaient également une forme de jeux Olympiques comportant des sports tels que le hockey sur gazon, le handball, la gymnastique, l’haltérophilie, l’équitation, la natation, l’aviron, le tir à l’arc, le lancer du javelot, la course longue distance, le saut en hauteur et la lutte à la corde.
Préférant jouer avec des balles réalisées en papyrus, les enfants ne participaient que très peu à des jeux organisés nécessitant de se battre ou de courir. En réalité, les jouets avec lesquels ils aimaient se divertir, ressemblaient souvent à des animaux et à des êtres humains.
Après la conquête greco-romaine, le théâtre devint une forme de divertissement très populaire. Des passages de pièces furent découverts sur les bouts de papyrus utilisés afin de réaliser les couvertures en cartonnage des momies. Les compétitions sportives étaient toujours aussi importantes. Ptolémée Deux institua un festival appelé « les Ptolémaéïa », se déroulant tous les quatre ans et censé rivaliser avec les jeux Olympiques
Le jeu le plus populaire était le senet. Considéré comme le précurseur du jeu de dames, il était joué sur un damier de trois rangées de dix carrés. L’objectif était de déplacer les pièces le long du parcours en formant une espèce de S. Certains carrés portant un signe spécial indiquaient soit la chance soit l’infortune. Les dés étaient joués au cours de la période romaine et byzantine à l’époque islamique.
Ornant les tombes et les temples de toutes les époques, des scènes montrent des musiciens et des danseurs. Les spectacles musicaux jouaient un rôle très important dans les cultes des divinités et des rois. Dès lors, il n’est pas étonnant de constater que les Egyptiens jouaient de toute une série d’instruments parmi lesquels on retrouve notamment des tambours, des flûtes, des harpes, des tambourins et des trompettes. Pour les femmes, faire carrière dans la danse était une chose très honorable. Précisons qu’afin de réaliser les figures acrobatiques représentées sur les scènes des temples, cette activité nécessitait une certaine grâce et une véritable force physique.
Chez les anciens Egyptiens, la danse était pratiquée lors des enterrements, des festivals, des banquets et à d’autres occasions. Comme l’indique le titre de « chanteuse d’Amon » qu’occupaient les femmes de l’élite, la chanson était un moyen d’honorer les dieux ainsi qu’une autre forme de divertissement populaire. Peu de paroles de chansons datant de l’Egypte ancienne furent retrouvées, si ce n’est quelques textes de chansons d’amour remontant à la période ramesside et découverts à Deir el-Medina.
La famille royale de l’Egypte ancienne et les hauts-fonctionnaires aimaient assister aux compétitions sportives. Parmi les événements favoris, citons entre autres la boxe, la lutte et les combats d’escrime disputés avec des bâtons. Les anciens Egyptiens avaient également une forme de jeux Olympiques comportant des sports tels que le hockey sur gazon, le handball, la gymnastique, l’haltérophilie, l’équitation, la natation, l’aviron, le tir à l’arc, le lancer du javelot, la course longue distance, le saut en hauteur et la lutte à la corde.
Préférant jouer avec des balles réalisées en papyrus, les enfants ne participaient que très peu à des jeux organisés nécessitant de se battre ou de courir. En réalité, les jouets avec lesquels ils aimaient se divertir, ressemblaient souvent à des animaux et à des êtres humains.
Après la conquête greco-romaine, le théâtre devint une forme de divertissement très populaire. Des passages de pièces furent découverts sur les bouts de papyrus utilisés afin de réaliser les couvertures en cartonnage des momies. Les compétitions sportives étaient toujours aussi importantes. Ptolémée Deux institua un festival appelé « les Ptolémaéïa », se déroulant tous les quatre ans et censé rivaliser avec les jeux Olympiques
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